Une découverte [ pv arthur]

La forêt. Cette endroit sinistre pour certain, merveilleux pour d'autre. Zephiel n'avait toujours pas mit les pieds dans cette forêt pourtant si belle, presque autant que le parc qui était splendide.

Il n'avait pas encore pénétrer dans le forêt, au contraire, il lui tournait le dos pour admirer le coucher du soleil. Le ciel se teintait de rose et de rouge, c'était très beau à voir mais la lumière allait se faire rare dans la forêt et il devait en profiter pour faire son petit tour maintenant.

Il pénétra dans la forêt et le noir l'avala presque immédiatement. L'ombre des arbres dominait sur ce lieu alors pour y voir un peu plus clair, Zephiel attrapa la lampe torche qu'il avait prit dans sa valsie avant de partir dans la forêt. Il était prévoyant, il avait même prit des piles supplémentaire, au cas ou.

Il avança dans la forêt, braquant sa lampe sur les arbres ou les animeaux qui vivait dans cette forêt, mais pour le moment, rien de bien méchant, juste quelques corbeaux. Il continuait son chemin quand il entendit un bruit venant de sa droite. Il braqua aussi vite que possible sa lampe sur la gauche. Un rugissement se fit entendre ou un grognement, dur de faire la différence mais Zephiel avait peur.

Il vit sortir de derrière les buissons un ... ours !! Il y avait des ours dans cette forêt ?? Quel question bête qui lui était venu, bien sur que oui !! Sinon il ne serait pas là ! Que faire fasse à cette énorme bête ? Surtotu que Zephiel avait la lampe braqué sur ses yeux, ce qui l'énerva. Il se mit sur ses deux pattes arrière et poussa un rugissement tel, que des oiseaux s'envolèrent. L'ours se remit sur ses pattes et avança à pas modéré vers Zephiel qui courait en arrière mais qui se retrouva coincer contre un arbre tandis que l'ours avançait. Une fois arrivé à son repas, il brandit sa patte et attaqua Zephiel mais par chance, il se produisit quelque chose...

L'arbre d'à côter avait bouger ses branches afin de venir attraper Zephiel et le mettre en haut de lui même. L'arbre avait bouger? Réalité ou fiction ? Réalité bien sur, le don de Zephiel avait agit instinctivement et avait fait bouger l'arbre d'à coter afin de le sauver de l'attaqu dévastatrice de l'ours. Zephiel était donc un haut de cette arbre, un sécurité ... du moins, c'est ce qu'il pensait.

Tu ne m'auras pas éspèce de grosse brut débile !
On va voir si tu ne seras pas mon repas petit homme.

Zephiel resta bouche-béee, était-ce l'ours qui venait de parler ? Non c'était impossible... Aussi impossible qu'un homme qui maitrise la glace ou le feu. Aussi impossible qu'un homme qui fait pousser des plantes... C'est vrai que Zephiel ne connaissait pas encore l'ittendu de ses pouvoirs, pouvait-il parler aux animeaux ? Sans doute, ce soir en fut la première explication logique car un ours ne parle pas !! Même dans un tel château !!

L'ours mit sa menace à execution à l'instant même. Ce que Zephiel n'aait pas prévu, c'était que les ours montait aux arbres !! Voyant l'ours monter, il grimpait les entre les branche de l'arbre pour monter le plus haut possible et une fois atteint la limite, il n'allait pas continuer a grimper les branches de l'arbre dans le vide ? Alors il pointa sa main sur l'arbre d'a coter, celui ou il était rester coincer et un jet de lumière verte partit droit sur cette arbre qui s'impregna de la magie lancer par Zephiel.

L'ours continuait de monter à l'arbre, mais il n'en était qu'au tronc quand une branche lui atterit en plein museau ce qui le fit chutter aussi vite. D'encore plus mauvaise humeur, il voulut faire ses griffes sur l'arbre qui n'avait pas Zephiel dans ses branches mais à nouveau, une lumière verte jaillit des mains de Zephiel et toute les feuilles mortes au sol vinrent se coller sur tout l'ours. Sur son nez, ses yeux,ses poils, partout. Il ne voyait plus rien et ne pouvait les enlever alors il rugit à Zephiel

Tu me le pairas petit ! Ne reviens plus jamais ici, ou je ne viendrait plus seul et tes tours de passe-passe ne marcheront plus !

L'ours avait parler, il se vengerait mais Zephiel n'avait plus peur, il avait découvert d'autres facette de son pouvoir. Une branche de l'arbre le posa au sol et les remercia.

Merci à toi jeune homme de nous avoir donner une vie, même courte. Tous le monde sais que les arbres parles mais nous ne pouvons pas le faire avec tous le monde et le fait de bouger mes branchages m'a fait le plus grand bien. Merci de nous avoir donner cette vie.

Zephiel ne comprennait pas bien, il avait un ton interrogateur, comment pouvait-il entendre l'arbre parler? Et l'arbre lui répondut sans que Zephiel n'eu à parler.

Nous les arbres avont notre propre moyen de communication. Sois le vent porte nos messages, soit les animeaux, soit les racines ou bien souvent.

C'est vrai, le vent s'était lever et permettait à Zephiel de tout entendre. Le deuxième arbre parla.

Sa fesait longtemps que je ne mettait pas battut contre un ours ! Mais à présent nous devons te laisser, le peu de magie en nous disparait... reviens nous voir...ami des arbres...

Et les arbres ne "parlèrent plus". Ce fut un choc pour Zephiel. Il s'assit pret de l'arbre et compta à voix haute son expérience:

J'ai tout d'abord parler à un ours, donner vie à des arbres et ils m'ont même parler !! Je ne suis donc pas que douer à faire pousser des plantes...

Il avait découvert d'autre facette de son don, qui était celui de la nature mais la nature est tellement vaste qu'il nourrait sans doute pas asser d'une vie pour s'apercevoir de tout ce dont il était capable... Zephiel s'endormit contre le tront de l'arbre, attendant le lendemain matin.

[c’est moi c’es moiii 8D]

Installé sous un arbre à proximité du parc de l’établissement, Arthur lisait un roman depuis au moins deux bonnes heures.
Bien que la nuit gagnait de plus en plus de terrain au dessus de l’école, le garçon n’avait pas bouger d’un pouce et terminait les dernières pages de son livre en s’efforçant de discerner les petites lettres brunes imprimées sur les pages de papier…
La minute qui suivait, le jeune homme avait enfin finit sa lecture, et refermait l’ouvrage avec satisfaction pendant qu’il lançait un regard vers le ciel qui se teintait lentement d’indigo.

Arthur se relava alors, épousseta son jean et défroissa comme il put sa longue chemise qui ressemblait désormais à du vieux papier crépon à cause du temps passé sous le postérieur du garçon. Il s’apprêtait à repartir en direction de l’école de magie mais, quelque chose, bien cachée dans un petit coin de sa tête, le tracassait.
Depuis plus d’un heure et demi effectivement, Arthur avait pu voir s’éloigner son cousin en direction de la forêt à laquelle il tournait le dos pendant sa lecture… mais n’avait pas encore vu le jeune homme en sortir.
Ses longs cheveux clairs ne trompaient pas, et Zéphiel était facilement reconnaissable à grâce à cela… Aussi Arthur aurait du tout de suite pu s’apercevoir de la présence de son cousin effectuant le chemin inverse, en direction de l’établissement, si cela avait été le cas… Or il n’en était rien. Le garçon était persuader que Zéphiel était toujours dans le bois…

« Arf… » fit il avec un haussement d’épaules. « Il finira bien par revenir de lui même ce grand nigaud. »

Oui mais … et si ce n’était pas le cas ?
Si Zéphiel n’avait eu aucun lien de parenté avec le jeune homme, pour sûr, il l’aurait laissé où il était sans même donner son signalement… Mais là, on parlait de quelqu’un de la famille… le fils du cousin d’il ne savait plus qui, et en un sens, cela le rendait responsable si il ne faisait rien.

« Peuh’ … La famille et ses obligations u_u… »

Pas vraiment convaincu, et traitant des pieds sur le sol poussiéreux et desséché que le séparait encore de la forêt, Arthur ruminait dans son col tout en se maudissant lui même d’avoir été là à ce moment précis … moment sans lequel il serait peut être bien au chaud dans le réfectoire à cette heure ci.

Pas de lampe, rien à grignoter, pas de veste pour se réchauffer… Notre apprenti aventurier ne réalisait pas encore avec quels handicaps il se lançait dans la recherche de son cousin perdu… La relève n’était pas encore assurée pour Indiana Jones… Arthur avait encore bien des progrès a faire de ce côté là…
Et puis d’abord, c’était bien beau vouloir aider son prochain… mais c’était un fait tellement inhabituel chez ce garçon qu’il ne savait pas du tout comment s’y prendre pour le moment… La forêt était dense, et lui, il était seul … seul et égaré dans la pénombre que les voûtes feuillues propageaient sur tout l’horizon. L’unique technique qui lui vint alors à l’esprit pour retrouver Zéphiel était de marcher tout droit… tout droit jusqu’à ce qu’il lui tombe dessus.

Basique, ridicule, et très certainement inutile… Mais qui savait si son cousin n’avait pas suivit la même idée en entrant dans cette forêt ? Marcher tout droit histoire de se balader ?
C’est en partant sur cette optique qu’Arthur se traça un chemin imaginaire au sein de son petit esprit, évitant les branchages bas qui menaçaient de lui fouetter le visage à chaque pas, ou les traites racines et les ronces s’accrochant à son jean au fur et à mesure de l’ascension du jeune homme… mais toujours en suivant la même lignée.

Apres ce qui paru être un bon quart d’heure –car il était impossible de voir la position des aiguilles de sa montre dans cette obscurité- le jeune homme passa enfin à proximité de ce qui semblait être un gros rocher… un gros rocher roulé sur lui même et émettant un étrange ronflement.

« Bon sang… »

Tout en se rapprochant de l’étrange créature étalée sur le sol, les doutes d’Arthur se révélèrent exactes… Il avait bel et bien à faire à la figure pâle et endormie de son ’’cher cousin chéri’’.
Qu’est-ce qu’il n’avait pas fallu faire pour le retrouver… et tout ça parce que monsieur s’était endormi contre un arbre ! Alors ça, c’était le pied… u_u Vraiment…

« Debout feignasse ! » hurla alors le jeune impatient dans les oreilles de Zéphiel. « T’as cru prendre l’option camping en début d’année ou quoi ? Qu’est ce que tu fous étalé ici ? >< »

Tout en restant penché vers son cousin réveillé en sursaut par sa prestation vocale, Arthur attendait les bras croisés que Zéphiel sorte de son état comateux, le fusillant du regard comme si c’était lui qui avait poussé le jeune homme à s’aventurer dans le bois… Alors que ce n’était pas du tout le cas…

Zephiel dormait au coin de son arbre. Il était perdu dans ses rêves, il se rappelait tous ce qui c'était passé depuis la rentrée: Il avait rencontré un Lucius, ce jeune homme glaciale qui arrivait pourtant à chauffer notre p'tit Zephiel. Il avait aussi rencontré Killian qui était chaud comme la braize! Il avait améliorer ou plutôt, découvert une autre partie de son don encore inconnu et il pensait qu'il pouvait encore évoluer dans ce sens. Et il se rappela la plus étrange des découverte, ou plutôt des rencontres : celle de son cousin !! Comment ce cousin si éloigné par la distance pouvait se retrouver dans cette école magique en même temps que son cousin?

La mémoire. Vous savez, ce truc dans votre boîte cranienne qu'on appele cerveau, vous vous en servez de temps en temps! Bah, sa sert aussi de stockage de donné et une donné jusqu'à alors diparut refit surface. Ils étaient là, Arthur et Zephiel. Dans un jardin, sans doute celui de son cousin. Il s'amusait et des choses étrange se produisait mais Zephiel ne put en savoir plus car son cousin lui cria:

" Debout feignasse ! T’as cru prendre l’option camping en début d’année ou quoi ? Qu’est ce que tu fout étalé ici ?"

Haa, quel voix horrible, quel cri perçant et quel insulte ! Oui, Arthur venait de faire tout cela en même temps et dans le sursaut qui réveilla Zephiel il s'imagina entra d'ordonner a l'arbre de le fouette avec une branche mais il ne le fit pas.

Il ouvrit peniblement les yeux, regarda la tête de son cousin et se mit sur ses pieds.

Tu as réussi à me retrouver? Bravo. On a eu la même idée, celle d'aller tout droit pour pas se perdre... (xD)... mais j'ai eu envi de dormir ici, j'était bien mais sa me touche que mon cousin chéri vienne me sauver et m'apporter à manger.

Bah quoi, il avait faim Zephiel et un homme normalement constitué aurait prit à manger avec lui.

(quel beau portrait xD)

A manger ? Comment ça à manger … ? Arthur n’avait déjà rien apporté pour lui même, il n’allait pas avec ça penser à apporter quelque chose à son cousin ! Aussi perdu et affamé soit–il … le jeune homme n’était pas son larbin ! Il en avait déjà bien assez fait en ce déplaçant jusqu’ici, il ne fallait pas non plus pousser le bouchon trop loin…

Toisant Zéphiel du regard, Arthur tentait ainsi de faire comprend qu’il venait d’être offensé par cette réplique (c’est le grand amour entre eux deux c’est fou xD) et resta les bras croisé et le torse bombé pour montrer qu’il ne se reprochais rien du tout quant à ce pseudo ‘‘oubli’’.

« A manger ? Tu m’as pris pour le room service peut être… ‘cousin chéri’ ? >< »

Secouant la tête en signe de désespérance, Arthur se décida finalement à tourner sur lui même pour observer les lieux. Tout se ressemblait en tout points… Aussi sombre et menaçant où que pouvait regarder le garçon…

« Et puis qu’est-ce qui t’as pris de piquer un somme ici Zefé ? T’es complètement barré, je le savais bien … »

Zefé… cela faisait bien longtemps qu’il n’avait plus réemployé ce nom. Il datait au moins de l’époque où Arthur était un peu plus agréable et attentionné envers ses proches… l’époque où il avait l’habitude de voir Zéphiel une fois par an pendant les grandes vacances, car oui, étant petits, les deux garçons s’entendaient plutôt bien… mais le temps ne semblait pas avoir joué en faveur de leur relation. Il fallait dire que cela faisait bien longtemps qu’Arthur n’avait pas revu Zéphiel… et les jeunes gens étaient resté bien cinq ans sans jamais donner de nouvelles l’un à l’autre.

Tout en ressassant ces souvenir d’enfants gâtés courant sur les plages de l’île de Ré, Arthur remarqua enfin quelque chose s’important dans la progression de cette aventure…
Tout cela était bien beau, il avait retrouvé son cousin, et désormais, il n’avait plus qu’une envie, c’était retourné à l’école et retrouvé les confort de la civilisation humaine… Mais …
Comment ?

Ouvrant des yeux gros comme des soucoupes, le garçon venait de réaliser qu’il ne se souvenait plus du tout de la direction dans laquelle il était venu jusque ici, et les mots ‘‘perdus, complètement perdu’’ apparurent alors dans son esprit. Mais quel crétin il faisait… ! A force de vagabondé de-ci de-là tout en blablatant avec son cousin, il en avait totalement égaré les précautions en prendre pour retrouver son chemin.
Paniqué, mais ne voulant pas l’avouer par fierté, Arthur s’adressa une nouvelle fois à Zéphiel pour tenter de se rassurer…

« Euh … dis, maintenant qu’on est bien réveillé et prêt pour réattaquer notre route… t’aurais une idée de la direction à prendre ? >.> »

Le jeune homme espérait de tout cœur que Zéphiel aurais une idée sur la question, commençant presque à perdre son sang froid… Mais des bruits de branches brisées s’élevèrent alors d’un peu plus loin dans la pénombre, et Arthur se surpris à croire que les deux garçons étaient enfin sauvés…

« A manger ? Tu m’as pris pour le room service peut être… ‘cousin chéri’ ? >< »

En plus de ce petit pique, Zephiel pouvait remarquer la posture de son cousin : les bras croisé et le torse bombé. Zephiel durant sa scolarité à la maison avait lut des livres sur la psychologie gestuelle et le croisement de bras signifait la défense, Arthur était-il vexé? (le pauvre petit...) et le torse bombé signifiat surement qu'il était hautain ou avait sa fierté. Il n'avait pas prit, à point c'était tout !

« Et puis qu’est-ce qui t’as pris de piquer un somme ici Zefé ? T’es complètement barré, je le savais bien … »
"Je ... Je me sentait bien, tout simplement."

C'était vrai, Zephiel c'était sentit bien avant de dormir, il se sentait protéger par les arbres, par la forêt entière.
Zefé ? Zefé? Zefé? Le Zefé en question se rememorait la plage de l'île de Ré, les apres-midi d'été passé avec son cousin, les promenades du dimanche, les goutters du mercredi... Et là, le trou noir, aucun souvenir de leur séparation, aucun souvenir entre leur enfance et maintenant. Pourquoi ne s'étaient-ils plus vut ?

« Euh … dis, maintenant qu’on est bien réveillé et prêt pour réattaquer notre route… t’aurais une idée de la direction à prendre ? >.> »
"Je ne sais pas trop, mais eux, ils le savent."

Eux qui? Il n'eu pas le temps de s'expliquer qu'un ours surgit suivit d'un sanglier. Ils se mirent en face de Arthur et Zephiel, comme un combat de gang.

Comme on se retrouve? Et en plus de cela tu ramène un autre repas. Cette fois je ne me laisserai pas faire gamin.

Pour Arthur, ce que dit l'ours fut très abstrait, il entendit juste des cris d'ours. Pas le temps d'expliquer, les animeaux fonçaient sur eux !

‘Eux’ ? Zéphiel connaissait-il donc les sauveurs des deux jeunes égarés ? Presque entièrement rassuré, Arthur s’apprêtait à foncer dans la direction d’où provenaient ces bruits –qui semblaient pour le moment- si rassurant. Il avait déjà abandonné son cousins à quelques pas derrière lui, ne se préoccupant plus que de sa petite personne, et trottinait avec joie dans l’obscurité du soir… jusqu’à ce qu’il tombe nez à nez avec ce qui semblait être un chien.
Ceux qui les avaient retrouvé avaient donc accomplis cet exploit grâce aux flaire de ces braves animaux ?

« Mais que ?! @_@ »

Figé sur place, Arthur remarqua enfin qu’il était totalement à côté de la plaque… et qu’il n’avait non pas a faire à des gardes chasse –par exemple- pouvant les ramener chez eux, mais à deux bêtes sauvages très peu rassurantes… et dont l’une venait de pousser un cris effroyable.

« Waaaaah !! »

Le jeune homme avait fait chemin inverse et s’était réfugié derrière son cousin en à peine quelques secondes… Il fallait dire que quand il s’agissait de sauver sa peau, Arthy pouvait battre des records de vitesse… (oui, il est très courageux, mdr xD) Il était cramponné aux épaules de Zéphiel, se servant du malheureux comme d’un bouclier, et s’agitait dans tout les sens pour essayer de se rendre compte de l’avancée de la situation dans cette pénombre bien gênante.

« Mais qu’est-ce que c’est que ce délire… Y’a des ours ici ?! » hurla le garçon, hystérique. « Et toi tu les laisse approcher comme ça, comme si ça te dérangeais pas ! »

Arthur dansait des claquettes sans le savoir. Exciter comme une puce, il aurait bien pu courir les cent mètres en moins de deux si le noir ne lui avait pas empêcher de voir plus loin que ses pieds.
Les deux affreuses bêtes –qui n’était donc autre qu’un ours et un sanglier- avaient accéléré le pas et , comme qui dirait... fonçaient droit sur les deux jeunes gens. Arthy du donc se séparer de son cousin, le laissant seul face a son destin, et entama une lutte contre les branchages pour se frayer un chemin parmi cette nature sauvage. Il sautait, courrait, hurlait… mais rien à faire, la bête qui s’était mis en tête de lui embrocher les fesses ne lâchait pas prise.

« Fichue bestiole… Sanglier de mes d*** ! Mais qu’est ce que je t’ai … HAAA ! »

La bête venait de lui foncer droit dans les jambes, et immanquablement, il ne restait plus au jeune homme qu’à s’écraser par terre… Arthur roula sur le côté tout en se protégeant la tête avec ses bras, pour éviter les coups de cornes de l’animal qui ne semblait pas vouloir s’en arrêter là. Il bavait et écumait comme une bête enragée… Jamais le garçon n’avait eu à faire à ce genre de situation… et il fallait avouer que tout cela lui apparaissait comme la fin du monde vécu en directe live. (ptdr, c’est pourri comme expression xD)

Dans un sursaut de témérité, Arthur altéra alors la gravité pour se mettre à l’abris…
Il ne savait pas où il allait atterrir avec le bond qu’il venait de faire en l’air –et ce, en ne s’aidant seulement de ses mains, s’il vous plait ! (ha bas oui, moins de gravité, ça aide…)- mais tout ce à quoi il pensait pour le moment était de s’éloigner le plus loin possible de ce monstre…
Quand il percuta enfin une grosse branche aux niveau de ses côtes, il s’y attacha de toutes des force pour éviter de retomber au sol… là où la bête pestait et rageait au pied de l’arbre.
Se sentant un peu plus en sécurité sur son perchoir improvisé, le jeune homme en profita pour observer autour de lui.

« Zéphiel ?! … Zéphiel t’es où ?! »

Zéphiel ?? Il venait d’appeler Zéphiel ? Arthur pensait-il donc à quelqu’un d’autre que lui même en ce moment critique ?